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MAINTENANCE EXPLOITATION DEG DEE
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bandu2 : menu_arrow.gif Article: bilan - 11/02/2010 20:41

bilan

bandu2 : menu_arrow.gif Article: donner de l'importance aux exploitants - 07/02/2010 00:19

Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit
« L’homme qui ruinerait ceux qu’il a à sa charge commettrait un péché immense. »



alors messieurs les divisionnaires, les chefs de service cessez de ruiner vos agents

bandu2 : menu_arrow.gif Article: MAINTENANCE EXPLOITATION DEG DEE - 13/01/2010 10:19

MAINTENANCE EXPLOITATION DEG DEE
c quoi la maintenance


"Le bruit fait peu de bien, le bien fait peu de bruit"

.
voir nos vidéo sur youtube
http://www.youtube.com/watch?v=-QnaaOLfnZY



la maintenance vise à maintenir ou à rétablir un bien dans un état spécifié afin que celui-ci soit en mesure d'assurer un service déterminé Les activités de maintenance, au sens de dépannage d'un équipement, ont toujours existé. Mais ces activités étaient au départ peu ou non formalisées : elles n'étaient pas nécessairement assurées par du personnel spécialisé, ni encadrées par des méthodes spécifiques. De plus, elles consistaient essentiellement à réparer un équipement une fois que celui-ci était défaillant, mais n'intégraient que peu la notion de « préventif », c'est-à-dire des interventions visant à prévenir une panne.Les activités de maintenance, au sens de dépannage d'un équipement, ont toujours existé. Mais ces activités étaient au départ peu ou non formalisées : elles n'étaient pas nécessairement assurées par du personnel spécialisé, ni encadrées par des méthodes spécifiques.

La notion formalisée de « maintenance » (à l'origine, on parlait d'« entretien ») est née dans l'industrie de production de biens vers la fin des années 1970. Puis, dans les années 1990, elle commença à gagner le secteur de production de services. Aujourd'hui elle est susceptible de concerner tous les secteurs d'activité : services généraux, immobilier, transport, logiciel, etc.

Le mot « maintenance » est souvent employé à tort pour désigner les actions d' « entretien ». Ces deux notions sont bien différentes, mais elles sont cependant complémentaires. La maintenance concerne tout ce qui fait appel aux énergies (électricité, pneumatique, mécanique, hydraulique, automatique, électronique, informatique, etc.) tandis que l'entretien concerne tout ce qui n'est pas technologique (nettoyage, peinture, plomberie, serrurerie, menuiserie, vitrerie, etc.).

Typologie de la maintenance des machines 

Il existe 2 façons complémentaires d'organiser les actions de maintenance :

  • La maintenance corrective, qui consiste à intervenir sur un équipement une fois que celui-ci est défaillant. Elle se subdivise en :
    • Maintenance palliative : dépannage (donc provisoire) de l'équipement, permettant à celui-ci d'assurer tout ou partie d'une fonction requise ; elle doit toutefois être suivie d'une action curative dans les plus brefs délais.
    • Maintenance curative : réparation (donc durable) consistant en une remise en l'état initial.
    • La maintenance préventive, qui consiste à intervenir sur un équipement avant que celui-ci ne soit défaillant, afin de tenter de prévenir la panne. On interviendra de manière préventive soit pour des raisons de sûreté de fonctionnement (les conséquences d'une défaillance sont inacceptables), soit pour des raisons économiques (cela revient moins cher) ou parfois pratiques (l'équipement n'est disponible pour la maintenance qu'à certains moments précis). La maintenance préventive se subdivise à son tour en :
      • Maintenance systématique : désigne des opérations effectuées systématiquement, soit selon un calendrier (à périodicité temporelle fixe), soit selon une périodicité d'usage (heures de fonctionnement, nombre d'unités produites, nombre de mouvements effectués, etc.) ;
      • Maintenance conditionnelle : réalisée à la suite de relevés, de mesures, de contrôles révélateurs de l'état de dégradation de l'équipement.
      • Maintenance prévisionnelle : réalisée à la suite d'une analyse de l'évolution de l'état de dégradation de l'équipement.

    Diverses méthodes permettent d'améliorer la planification et l'ordonnancement des actions de maintenance :

  • Réseau PERT
  • Diagramme de Gantt
  • Méthode MERIDE
  • Analyse AMDEC

Par ailleurs, il existe des logiciels de gestion de maintenance assistée par ordinateur (GMAO), spécialement conçus pour assister les services de maintenance dans leurs activités.

Typologie de la maintenance des logiciels 

  • En informatique logicielle, on parle assez régulièrement de 3 types de maintenance :

  • la maintenance corrective : elle consiste à corriger les défauts de fonctionnement ou les non-conformités d'un logiciel,
  • la maintenance évolutive  : elle consiste à faire évoluer l'application en l'enrichissant de fonctions ou de modules supplémentaires, ou en remplaçant une fonction existante par une autre, voire en proposant une approche différente.
  • la maintenance adaptative : sans changer la fonctionnalité du logiciel, elle consiste à adapter l'application afin que celle-ci continue de fonctionner sur des versions plus récentes des logiciels de base, voire à faire migrer l'application sur de nouveaux logiciels de base (un logiciel de base étant un logiciel requis pour l'exécution d'une application; exemples : système d'exploitation, système de gestion de base de données).

Niveaux de maintenance 

La norme NF X 60-010 définit, à titre indicatif, cinq « niveaux de maintenance » (comprendre « interventions ») :

  • niveau 1 :

- travaux : réglages simples - pas de démontage ni ouverture
- lieu : sur place
- personnel : exploitant du bien
- exemple : remise à zéro d'un automate après arrêt d'urgence

  • niveau 2 :

- travaux : dépannage par échange standard - opérations mineures de maintenance préventive
- lieu : sur place
- personnel : technicien habilité
- exemple : changement d'un relais - contrôle de fusibles - réenclenchement de disjoncteur

  • niveau 3 :

- travaux : identification et diagnostic de pannes - réparation par échange standard - réparations mécaniques mineures - maintenance préventive (par ex. réglage ou réalignement des appareils de mesure)
- lieu : sur place ou dans atelier de maintenance
- personnel : technicien spécialisé
- exemple : identification de l'élément défaillant, recherche de la cause, élimination de la cause, remplacement

  • niveau 4 :

- travaux : travaux importants de maintenance corrective ou préventive sauf rénovation et reconstruction - réglage des appareils de mesure - contrôle des étalons
- lieu : atelier spécialisé avec outillage général, bancs de mesure, documentation
- personnel : équipe avec encadrement technique spécialisé
- exemple : intervention sur matériel dont la remise en service est soumise à qualification

  • niveau 5 :

- travaux : rénovation - reconstruction - réparations importantes
- lieu : constructeur ou reconstructeur
- personnel : moyens proches de la fabrication
- exemple : mise en conformité selon réglementation d'équipements lourds

Il convient d'associer, dans la détermination des niveaux, la documentation et le matériel nécessaires.

Les sigles de la maintenance 

De même que le mot et le concept, les nombreux sigles de la maintenance sont d'origine anglo-saxonne. Toute une néologie a vu le jour, dont l'élément le plus spectaculaire est la kyrielle des sigles commençant par MTmean time, litt. « temps moyen » (anglicisme), c'est-à-dire durée moyenne, intervalle de temps moyen, et par voie de conséquence, moyenne des temps). Quelques sigles à titre d'exemples, assortis de leur traduction plus ou moins littérale : (initiales de

  • MTBF mean time before failure, temps moyen avant défaillance (à ne pas confondre avec mean time between failures, infra);
  • MTBD : mean time between defects, temps moyen entre défauts;
  • MTBE : mean time between errors, temps moyen entre erreurs;
  • MTBF : mean time between failures, temps moyen entre (deux débuts de) pannes (à ne pas confondre avec mean time before failure supra);
  • MTBCF : mean time between critical failures, temps moyen entre (deux débuts de) pannes graves ou « critiques » (anglicisme) (sur matériel redondé à dégradation progressive);
  • MTBM : mean time between maintenances, durée moyenne entre maintenances;
  • MTBO : mean time between overhauls, temps moyen entre révisions;
  • MTBR : mean time between removals, temps moyen entre déposes;
  • MTBUR : mean time between unscheduled replacements, temps moyen entre remplacements non planifiés;
  • MTTF : 1/ mean time to failure, temps moyen jusqu'à la panne, temps moyen (de bon fonctionnement) sans panne (entre la fin d’une panne et le début d’une autre); 2/ mean time to fix, temps moyen entre l’apparition d’un problème et sa solution;
  • MTTFF: mean time to first failure, temps moyen jusqu'à la première défaillance;
  • MTTM : mean time to maintenance, temps moyen jusqu'à la maintenance;
  • MTTR : 1/ mean time to recovery, temps moyen jusqu’à la remise en route; 2/ mean time to repair, temps moyen jusqu'à la réparation; 3/ mean time to restoration, temps moyen jusqu'à la remise en service;
  • MTTUR : mean time to unscheduled removal, temps moyen jusqu’à la dépose non programmée.

Maintenance et humour

Devant l'inflation néologique décrivant les différents types de maintenance possibles (expressions sur le modèle adjectif + maintenance en anglais et maintenance + adjectif en français), quelques esprits malicieux ont inventé des expressions désignant des types de maintenance peu orthodoxes :

- percussive maintenance (maintenance percussive ou maintenance par percussion), autrement dit la remise en marche par coup de pied ou par bourrade;
- provocative maintenance (maintenance provocative ou maintenance par provocation), en d'autres termes la mise hors d'état de l'équipement.
Pour la maintenance en situation de crise ou d'urgence, il est question d' hysterical maintenance (maintenance hystérique)...

bandu2 : menu_arrow.gif Article: nouveaux cadres - 12/01/2010 17:50

nouveaux cadres

2 PARTIE ET FIN

Alors chers messieurs sachez  que la discussion est importante te dans l’intégration

Dans le langage commun, un amalgame est souvent fait entre la notion d’opérationnalité et celle d’intégration. En effet, bien souvent, l’équipe attend du nouveau cadre, qu’il devienne opérationnel pour être intégré. Mais nous l’avons vu, l’intégration est un processus complexe, et l’opérationnalité n’en est qu’un stade. Intégrer une équipe pour en devenir équipier, va bien au-delà que de simplement en appréhender les normes et habitudes professionnelles. L’opérationnalité ne tient pas compte de la dimension de la compétence sociale, indispensable à une intégration. Or nous l’avons vu, les outils utilisés par les cadres d'un véritable entreprise, visent à donner les clés de l’opérationnalité au nouvel arrivant. En cela, les outils ne constituent qu’un moyen de l’intégration, et ne doivent pas en être une fin. Le cadre de sonelgaz, de par sa position centrale dans ce processus doit bien en être conscient et accompagner le nouvel arrivant au moyen de ces outils, sans pour autant se méprendre sur leur rôle dans le processus d’intégration.

En Conclusion

L’intégration est un processus complexe tant pour l’intégrant, que pour l’équipe qu’il intègre. Ce processus va bien au-delà de la simple acquisition de compétences professionnelles. Le cadre de sonelgaz, acteur de ce processus, dispose d’une position centrale qui doit lui permettre d’accompagner au mieux cette intégration. Pour ce faire, il lui est nécessaire mais non suffisant de recourir à des outils afin de tendre vers l’intégration du nouveau cadre, afin qu’il puisse passer du rôle de

collaborateur, à celui d’équipier.

 

bandu2 : menu_arrow.gif Article: nouveaux cadres - 12/01/2010 17:38

nouveaux cadres1 ER PARTIE

L impossible intégration des nouveaux cadres
Le recrutement d’un collaborateur ne prend pas fin avec la signature du contrat de travail. Certaines entreprises ont ainsi mis en œuvre des politiques d'intégration de leurs nouvelles recrues. Soigner l’accueil du nouvel embauché, l’accompagner dans sa prise de fonction, le suivre durant sa période d’essai, vont contribuer à le rendre plus rapidement opérationnel, productif, autonome.
Mais, au-delà de l’efficacité professionnelle, de plus en plus de grands groupes aspirent à cultiver, chez leurs cadres et jeunes diplômés, une implication, un engagement durable, une adhésion à leur culture et leurs valeurs , voire un sentiment d’appartenance à l’entreprise, dès les premiers mois de la collaboration . Bien intégrer est-ce un moyen de fidéliser les collaborateurs ? S’il n’existe pas de formule magique qui puisse totalement éviter les départs de salariés, une intégration structurée et planifiée peut avoir un impact positif non négligeable sur la fidélisation. « Aucune étude n’a établi de lien direct entre intégration et fidélisation. Ces deux notions ne s’inscrivent pas dans la même temporalité. L’intégration est une question que l’entreprise envisage à court et parfois à moyen terme tandis que la fidélisation suppose une politique à long terme. Toutefois, on peut considérer que l’intégration contribue de manière indirecte à fidéliser un collaborateur. En effet, un cadre ou un jeune diplômé qui a gardé le souvenir d’une intégration difficile dans l’entreprise sera plus propice à aller voir ailleurs dès que l’occasion se présentera à lui.

"L'intégration contribue de manière indirecte à fidéliser un collaborateur"

Chez nous c’est le parfait contraire on pousse d’une manière directe le jeune recru a quitter les lieux, l’exemple le plus remarquant vient toujours de la DEE ( contrairement a la DEG et la DRC ou de jeune recrus  occupent des postes de chef de service)on constate que les nouveaux ingénieurs sont écarté [ SUITE AUX REMARQUES DE NOS COLLEGUES NOUS AVONS JUGE UTIL DE SUPRIMER CE PARAGRAPHE POUR NE PAS VISER DES PERSONNES ]

Que veux t’on des nouveaux pourquoi sont ils écartés qui sont ceux qui ont peurs pour leurs postes et intérêts ?